Le chapelier fou prends le thé

Donner 5 Qualités & 5 Défauts :

Fou
Attentionné
Courageux
De bon conseil
Amusant
Fou (oui c'est les deux !)
Saute d'humeurs
Incapable d'être sérieux
Idiot
Fatiguant

surnom(s) : La chapelier fou ; Le chapelier toqué, Hein, Mister T âge : 28 ans conte : Alice aux pays des merveilles date de naissance : 28/02 titre de noblesse : //

Je suis Heinrich et je viens porter plainte ! De nombreuses fois, on a tenté de me représenter dans ce monde. D'abord, le vieux toqué : mais je ne suis pas vieux ! Ensuite le géant verdâtre : ma peau est toute à faite blanche, autant que mes cheveux ! Et pour finir l'autre malade aux boucles rouges (désolé Ariel) Et tout les trois ont des rôles minimes... Je mérite bien plus d'égard. Je vais donc vous raconter mon histoire et la vraie cette fois !

Je suis né dans ce monde merveilleux il y a de ca 10 403 jours -à compter d'aujourd'hui. J'ai recu une excellente éducation, par de grands maîtres... Très tôt je me suis intéressé à l'art. Les Lettres, la peinture, le chant... Et la couture ! Ah, l'art, source inépuisable de nouveautés, de créativité, un raffinement et une personnalité inégalée ! C'est avec joie que j'écris poèmes et chansons, dont je compose également la musique pour les chanter. J'avoue que mes chansons de début n'étaient guère fameuses... En grandissant j'ai pris gout au thé, ne manquant plus jamais la pause sacrée. Voyons... Je devais avoir 2584 jours quand j'ai pris gout au thé -ne cherchez pas, ça fait 7 ans et 29 jours.

Dans la même tranche d'age, je dois avouer que j'avais un certain charme auprès des filles. Ce devait venir de ma voix douce, ou de mes grands yeux verts. A moins que ce soit la blancheur pure de mes cheveux. Quoi, c'est une histoire et pas une description physique ? Mais aller faire chanter une chaise ! De toute façon... Je n'ai jamais fait très attention aux filles. Le grand amour c'est beau à écrire, mais inutile à trouver. J'ai continué ma vie dans ce même raffinement. A 12 ans -je le formule ainsi pour vous simplifier la tâche- je me suis lancé dans la confections. J'avais un don pour l'art, mais un plus grand encore pour les CHAPEAUX. Mon maître, fier de moi, m'a désigné au poste de Chapelier -sans négliger mes autres talents.

J'ai grandi, satisfaisant mes besoins de création, et faisant grandir ma réputation. Je devins Chapelier officiel de la reine Rouge. C'est dur de contenter des gouts aussi originaux que les siens, mais je m'arrangeais toujours. Et puis vint le drame... Pour feter l'anniversaire de règne la reine -je venais de fêter mes propres 20 ans- je lui ai composé une chanson. Le fait que je prenne la mesure -de la musique, pas de sa tête- ne lui a pas plu. Apparemment je battais le temps... En effet, frapper le temps c'est pas très sympa, mais je l'ignorais moi même que la mesure blessait le temps. Je fus condamné à être décapité. Je n'ai jamais couru aussi vite que ce jour là, me glissant entre les cardes (gardes-cartes) ; tenant mon chapeau dans une main et ma jolie canne dorée dans l'autre. J'ai fuit aussi vite que possible traversant la cour à toute vitesse, pour sauver ma vie.

J'ai couru comme un dératé durant des jours.Quand je me suis arrêté, trop épuisé pour faire un pas de plus, j'étais perdu dans une forêt... J'entendis des pas. Les cardes m'auraient déjà rattrapés ?

"Je rêve ? Heinrich, mon ami !"

J'ouvris grands mes yeux : Mon ami Lièvre Demars. Nous avons fait les quatre cent coups ensemble, pris le thé ensemble, chanter ensemble -bien que se soit un piètre chanteur comparé à moi, qui n'est guère de voix comparé aux nombreuses princesses ici bas. Nous nous sommes perdus de vue lorsque je me suis mis au service de la reine. Lièvre me porta jusqu'à une grande table, et me proposa de prendre un thé pour reprendre des forces. J'ai profité de ce moment pour lui parler de mes malheurs. Lièvre eut la bonté de me garder à sa table, où nous n'avons cessé de prendre le thé depuis, tout en parlant art.

Alors que nous fêtions un non-anniversaire -une excuse fortement employée pour prendre le thé- j'ai retrouvé quelqu'un d'autre. La pauvre ne pouvait se souvenir de moi, je n'avais que 13 ans quand je suis devenu son parrain, et je suis parti quasiment juste après. Ma petite nièce, Alice, qui entre nous avaient bien grandie... Quinze ans peuvent passer bien vite. Nous avons pris le thé ensemble et fait connaissance. Quand Alice défit la Reine, je pus me reposer et reprendre la confection en paix. J'ai également composé des chansons pour nos princesses tant appréciées. C'est ainsi que j'ai rencontré nombres de mes amis : Dimitri, avec qui je prends le thé et alcool ; Mulan et Shang -pour qui j'avoue avoir un faible- a qui j'ai composé la chanson "Comme un homme" et tant d'autres.

Pour être franc, il m'a fallu longtemps pour comprendre ce qui m'arrivait le jour de la malédiction. Je sors rarement de mes ateliers. Mais bien sûr, la nouvelle m’attrista fortement. On a beau me dire fou, je suis un sensible ! Mais bon, ça ne gêne guère ma fibre créatrice. Tant que je ne touche pas mes quelques clients qui viennent pour un tableau ; une chanson ou un chapeau -voire toute la tenue- Je peux continuer avec plaisir ma petite vie d'artiste.

Bon et bien, mon histoire est finie. J'espère qu'elle vous a plu et vous incite à faire de l'art. Peut-être nous reverrons nous à un tea party !

Il est l'heure du rp test (minimum 10 lignes) :
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Spoiler:

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